A fondre sur nos joues, la buée
Embrume, décapite. A s'étendre dans
Le ciel, le feu bout, tel ces soleils
D'huiles. Ou de de cires peut-être.
Allez donc le dire à Icare, que le
Feu nous aurait mieux sevit. Comme
Le sol de solitude doit se sentir
Seul. Paniqué même. Face pile
Des éléments, là où tout respire
La fonction. L'ordre et la fonction.
Ou quand le ciel se fait rayé, à
Ensevlir les airs. Les airs grisâtres
De l'hiver. Côté face. Quand
La réalité reprend le dessus sur
Les vérités. Les grandes règles,
Celles qui guident; dans l'absurde, dans le Vrai.
Camille de Blainville
Journal poétique.
Thursday, January 25, 2007
Wednesday, January 24, 2007
Naissants, encore.
L'écho d'un souffle. Ou bien, le souffle
Dans l'écho. On souffre, mais on rêve.
On respire ce rêve comme on l'expie.
Mais tout résonne, dans le râle.
Ca râcle l'existence.
Ils soufflent.
Et parfois peut-on entendre, au loin,
Dans leurs songes, ce qu'il reste d'âme.
Ils la transpire, la grosse goutte du sens.
Mais Oublions.
Souillons de l'ivress ce rire, aux beaux
Eclats. Cette explosion, ce filtre d'ailleurs.
L'endroit où moi, nous, eux, sommes.
Parvenus à trouver la force de respirer.
Camille de Blainville.
Dans l'écho. On souffre, mais on rêve.
On respire ce rêve comme on l'expie.
Mais tout résonne, dans le râle.
Ca râcle l'existence.
Ils soufflent.
Et parfois peut-on entendre, au loin,
Dans leurs songes, ce qu'il reste d'âme.
Ils la transpire, la grosse goutte du sens.
Mais Oublions.
Souillons de l'ivress ce rire, aux beaux
Eclats. Cette explosion, ce filtre d'ailleurs.
L'endroit où moi, nous, eux, sommes.
Parvenus à trouver la force de respirer.
Camille de Blainville.
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