Quatres à Quatres. Marche.
Et rouler dasn l'entrebaillement
De ces peaux. De Louve.
Chassant le bonheur.
Cathodique. Paranoïa des
Simples. Simplifiés, abrutis.
Détruits et gavés. A l'onde.
Camille de Blainville.
Le balet des âmes usées
Journal poétique.
Thursday, July 12, 2007
Les libérations.
Par delà l'espace. Hésite.
Entremêlent. Des Mots.
Marque. Sueure froide
Des matières.
On y vient pas.
On y trouve.
Camille de Blainville.
Entremêlent. Des Mots.
Marque. Sueure froide
Des matières.
On y vient pas.
On y trouve.
Camille de Blainville.
Publicité des jardins.
Débacles et boucles,
Qui courrent le gazon.
Hanté du spectre que
L'on dévoile. Factice.
A peine frôlée de la
Patte; que l'on s'égare
Dans les coins et recoins
Clos. Espace Délimité.
Camille de Blainville.
Qui courrent le gazon.
Hanté du spectre que
L'on dévoile. Factice.
A peine frôlée de la
Patte; que l'on s'égare
Dans les coins et recoins
Clos. Espace Délimité.
Camille de Blainville.
Tuesday, July 10, 2007
.A.
Des nuages lourds pèsent sur Alexandrie.
Intermittents, professionels...
Tendez votre main, ramassez du doute.
Tendez votre coeur, récoltez une forme.
De chair et d'os. Sanguine. Délicate .
Du bleu qui va loin et vous emporte.
Egypte et marées. Il se trompe;
On s'y perd. Flâner pour la trouver.
Au bout des echymoses. Le sentiment.
Dans l'enchevêtrement du stable; c'est
L'ennui. Qui vous aime.
Camille de Blainville.
Intermittents, professionels...
Tendez votre main, ramassez du doute.
Tendez votre coeur, récoltez une forme.
De chair et d'os. Sanguine. Délicate .
Du bleu qui va loin et vous emporte.
Egypte et marées. Il se trompe;
On s'y perd. Flâner pour la trouver.
Au bout des echymoses. Le sentiment.
Dans l'enchevêtrement du stable; c'est
L'ennui. Qui vous aime.
Camille de Blainville.
Venins dillués.
Et, un silence enfin, maraudeur;
Qui ronronne. A pied, près de la Seine
J'aspire. Le silence, domniateur. Un
Astre vieux, qui se languit dans les
Mutines ardeurs d'un songe qui coule.
paris respire dans cet ordre, vide
Et sourd d'ordres évadés. Loin des
Rumeurs. Dans un couchant; propre,
A se mourir le long des lignes de fuite.
Un chapeau, une flamme, les lumières
Même s'y perdent. Balayées par les vents,
L'amour et le cri, c'est la cité
Vibrante, d'où chute les Raisons.
Camille de Blainville.
Qui ronronne. A pied, près de la Seine
J'aspire. Le silence, domniateur. Un
Astre vieux, qui se languit dans les
Mutines ardeurs d'un songe qui coule.
paris respire dans cet ordre, vide
Et sourd d'ordres évadés. Loin des
Rumeurs. Dans un couchant; propre,
A se mourir le long des lignes de fuite.
Un chapeau, une flamme, les lumières
Même s'y perdent. Balayées par les vents,
L'amour et le cri, c'est la cité
Vibrante, d'où chute les Raisons.
Camille de Blainville.
Voix.
La lumière qui transperçe le jour,
à peine dissimulé de ta voix.
L'anonymat qui meurt dans le goût
Des mots; le long de ces soleils
Qui, marches après marche, révèlent
Qui s'est caché. Derrière les vers.
Mers de mots.
à peine dissimulé de ta voix.
L'anonymat qui meurt dans le goût
Des mots; le long de ces soleils
Qui, marches après marche, révèlent
Qui s'est caché. Derrière les vers.
Mers de mots.
Friday, June 08, 2007
A l'ombre des clapottis.
Naître latin. Et sans doute alors
S'étreindre; ainsi, par simplicité,
Au détour de quelques ponts bien
Ancrés. Proche de l'histoire; poète.
A l'ombre de quelques mélomanes,
S'il vous plait. Et puis une
Identité qui vole le long des notes,
La belle et tendre parisienne.
Pleine d'une eau d'un jazz. Une
Vie qui nous soûle, mâche la
Braise; produit la brèche d'où chacun
Prend vie et renaît. Latin sur les ponts.
S'étreindre; ainsi, par simplicité,
Au détour de quelques ponts bien
Ancrés. Proche de l'histoire; poète.
A l'ombre de quelques mélomanes,
S'il vous plait. Et puis une
Identité qui vole le long des notes,
La belle et tendre parisienne.
Pleine d'une eau d'un jazz. Une
Vie qui nous soûle, mâche la
Braise; produit la brèche d'où chacun
Prend vie et renaît. Latin sur les ponts.
Le prix.
Le long du verre qui boit le bureau,
L'albatros court. Armé de son acier.
Tout près qu'il est de vidanger sur
Nos crânes, chauves de songes.
Au détour d'un reflet maudit,
Il se lie aux couleur des bleus
Du ciel bannît; la modernité nous
Plie aux règles du meurtre. Mazouter
L'azur par mimétisme et se haïr,
Traité signé, parfait l'accord, applaudit
Son voisin. Une diplomatie de l'inconscient.
Assis sur ces trônes vermeils. Qui laisse
Choir, indolent, le pauvre oiseau migrateur,
Offre sa faveur au marchand, dans le ciel.
L'albatros court. Armé de son acier.
Tout près qu'il est de vidanger sur
Nos crânes, chauves de songes.
Au détour d'un reflet maudit,
Il se lie aux couleur des bleus
Du ciel bannît; la modernité nous
Plie aux règles du meurtre. Mazouter
L'azur par mimétisme et se haïr,
Traité signé, parfait l'accord, applaudit
Son voisin. Une diplomatie de l'inconscient.
Assis sur ces trônes vermeils. Qui laisse
Choir, indolent, le pauvre oiseau migrateur,
Offre sa faveur au marchand, dans le ciel.
Camille de Blainville
Tuesday, March 06, 2007
Berceau des mousses.
Silence dans la plaine! Silence!
Bientôt on s'entendrait gémir
De par l'intérieur, à ce rythme.
Rythme et cadencé dans ce néant.
On souffle, on bruite, trop dégoutté,
Usé de nos mouvements sonores.
Jouir du silence, mourir d'utilité.
Camille de Blainville
Bientôt on s'entendrait gémir
De par l'intérieur, à ce rythme.
Rythme et cadencé dans ce néant.
On souffle, on bruite, trop dégoutté,
Usé de nos mouvements sonores.
Jouir du silence, mourir d'utilité.
Camille de Blainville
Thursday, February 01, 2007
Le mot; l'autre.
Parfois, dans le lacet d'un mot,
D'une caresse; d'un émoi,
Aussi. Parfois. Alors seulement
Là, la liberté. Pour être encore
Au delà, de la pensée. Même
Se trouver dès lors au delà du
Simple réel.
Et affronter. Endurer alors.
Cette terreur. terrible et contingente,
La présence de la vie. Au travers
Même du corps. En deçà du phénomène.
Le langage est bien, qui se pose
Ainsi que le songe à l'êtreme limite du moi.
Moi qui dit. A prononcer la vie.
D'une caresse; d'un émoi,
Aussi. Parfois. Alors seulement
Là, la liberté. Pour être encore
Au delà, de la pensée. Même
Se trouver dès lors au delà du
Simple réel.
Et affronter. Endurer alors.
Cette terreur. terrible et contingente,
La présence de la vie. Au travers
Même du corps. En deçà du phénomène.
Le langage est bien, qui se pose
Ainsi que le songe à l'êtreme limite du moi.
Moi qui dit. A prononcer la vie.
Thursday, January 25, 2007
Elémentaire.
A fondre sur nos joues, la buée
Embrume, décapite. A s'étendre dans
Le ciel, le feu bout, tel ces soleils
D'huiles. Ou de de cires peut-être.
Allez donc le dire à Icare, que le
Feu nous aurait mieux sevit. Comme
Le sol de solitude doit se sentir
Seul. Paniqué même. Face pile
Des éléments, là où tout respire
La fonction. L'ordre et la fonction.
Ou quand le ciel se fait rayé, à
Ensevlir les airs. Les airs grisâtres
De l'hiver. Côté face. Quand
La réalité reprend le dessus sur
Les vérités. Les grandes règles,
Celles qui guident; dans l'absurde, dans le Vrai.
Camille de Blainville
Embrume, décapite. A s'étendre dans
Le ciel, le feu bout, tel ces soleils
D'huiles. Ou de de cires peut-être.
Allez donc le dire à Icare, que le
Feu nous aurait mieux sevit. Comme
Le sol de solitude doit se sentir
Seul. Paniqué même. Face pile
Des éléments, là où tout respire
La fonction. L'ordre et la fonction.
Ou quand le ciel se fait rayé, à
Ensevlir les airs. Les airs grisâtres
De l'hiver. Côté face. Quand
La réalité reprend le dessus sur
Les vérités. Les grandes règles,
Celles qui guident; dans l'absurde, dans le Vrai.
Camille de Blainville
Wednesday, January 24, 2007
Naissants, encore.
L'écho d'un souffle. Ou bien, le souffle
Dans l'écho. On souffre, mais on rêve.
On respire ce rêve comme on l'expie.
Mais tout résonne, dans le râle.
Ca râcle l'existence.
Ils soufflent.
Et parfois peut-on entendre, au loin,
Dans leurs songes, ce qu'il reste d'âme.
Ils la transpire, la grosse goutte du sens.
Mais Oublions.
Souillons de l'ivress ce rire, aux beaux
Eclats. Cette explosion, ce filtre d'ailleurs.
L'endroit où moi, nous, eux, sommes.
Parvenus à trouver la force de respirer.
Camille de Blainville.
Dans l'écho. On souffre, mais on rêve.
On respire ce rêve comme on l'expie.
Mais tout résonne, dans le râle.
Ca râcle l'existence.
Ils soufflent.
Et parfois peut-on entendre, au loin,
Dans leurs songes, ce qu'il reste d'âme.
Ils la transpire, la grosse goutte du sens.
Mais Oublions.
Souillons de l'ivress ce rire, aux beaux
Eclats. Cette explosion, ce filtre d'ailleurs.
L'endroit où moi, nous, eux, sommes.
Parvenus à trouver la force de respirer.
Camille de Blainville.
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