Journal poétique.

Tuesday, July 10, 2007

Venins dillués.

Et, un silence enfin, maraudeur;
Qui ronronne. A pied, près de la Seine
J'aspire. Le silence, domniateur. Un
Astre vieux, qui se languit dans les

Mutines ardeurs d'un songe qui coule.
paris respire dans cet ordre, vide
Et sourd d'ordres évadés. Loin des
Rumeurs. Dans un couchant; propre,
A se mourir le long des lignes de fuite.

Un chapeau, une flamme, les lumières
Même s'y perdent. Balayées par les vents,
L'amour et le cri, c'est la cité
Vibrante, d'où chute les Raisons.

Camille de Blainville.

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