Le cubique désinvolte des demeures désertées.
L'étrange caresse du chlorophyle par procuration.
Et du rail, le long des aurées, le long des horizons.
Comme pénétrant les guides et, servant les
Vibrants hommages à nos demains.
De l'incertain et encore du tumulte.
Calme, sordide et pourtant si sain.
De la vie, de la santé, au soleil de plomb
Des caribéennes paquerettes.
Le souffle accourt, le gris les épousent.
Et du rêve, encore et toujours ce rêve
Du lendemain, voir l'hier devenir, naitre
Du rien, du maintenant et de l'inconcevable
D'un sans doute lendemain.
Camille de Blainville
Journal poétique.
Wednesday, May 10, 2006
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